Type: Cotre bermudien.
Gréement : 1 mât ; grand-voile bermudienne ; 1 foc ;
une trinquette bômée ; pas de bout-dehors , n° de voile 811 ; spi au portant
Matériaux : bois (structure en chêne, bordés en teck)
Lancement : 1935, à Fairlie (Écosse) par le chantier Fife, sur des plans de Alfred Mylne.
Lancement : 1935, à Fairlie (Écosse) par le chantier Fife, sur des plans de Alfred Mylne.
Autres noms : Sonas (au moment de son lancement)
Utilisation initiale : yacht de croisière
Utilisation initiale : yacht de croisière
Dernière nationalité connue : Française
Port d'attache : Marseille
Port d'attache : Marseille
Utilisation : Yacht de croisière et de course croisière
Signification du nom : Irina VII : sans doute un prénom ; donné par le Norvégien qui a acquis le voilier en 1952, et qui avait auparavant eu 6 voiliers nommés Irina (d'où Irina VII)
Sonas, le 1er nom, est un le mot gaélique pour désigner le bonheur.
Sonas, le 1er nom, est un le mot gaélique pour désigner le bonheur.
Longueur hors-tout : 16,5 m
Longueur de la coque : 16,5 m
Longueur à la flottaison : 11,4 m
Largeur maximale : 3,6 m
Tirant d'eau maximal : 2,1 m
Tirant d'air : m
Déplacement : 22 t
Surface maxi de voilure : 172 m² au près ; spi de 220 m²
m²
m²
État : restauré, bien entretenu
Avant : étrave très élancée
Coque : blanche ; 2 hublots sur chaque bord.
Construit en 1935 par le célèbre chantier Fife, Irina VII est décorée du fameux dragon.
Il a appartenu à un major écossais, puis à un Norvégien à qui il doit son nom actuel et qui a réduit sa voilure. Puis il a appartenu à des Anglais et a servi d'école de voile dans le Devon; Irina généralement été bien entretenu. Il a été restauré en1985.
Racheté par son actuel
propriétaire français en 2002, il a été restauré au chantier Amebois de Toulouse, conformément aux plans d'origine
Irina naviguant maintenant en
Méditerranée, entre Marseille et la Sicile, et participe aux régates de yachts classiques. Sa
capacité est de 6 places en
croisière, 10 en navigation de la journée et en régate
Irina VII en hivernage à Sète (fin mars 2018) |
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